Après quatre années de billets quasi quotidiens, l’envie n’était plus là, mais puisqu’elle fait mine de revenir, afin notamment, en cette période de rentrée littéraire, de m’inscrire en faux contre ceux qui trouvent qu’il y a trop de livres, que le niveau baisse et qu’il vaut mieux relire ses classiques, je tente une résurrection – comme on trempe prudemment le bout d’un pied dans la mer trop froide.